La réforme de l’organisation du stationnement payant sur voirie entrera en vigueur le 1er janvier 2018. Ce nouveau dispositif de stationnement participera au développement de politiques locales de mobilité ambitieuses puisqu’il offrira aux collectivités territoriales la possibilité de mieux gérer les flux automobiles, et de résoudre une bonne partie des dysfonctionnements du système actuel.
La réforme du stationnement en quelques points
L’objectif principal est de confier aux collectivités locales tous les moyens pour faire du stationnement un outil vraiment efficace afin de développer de véritables politiques de transports ambitieuses. Cette réforme décourage la fraude et, par l’affectation des recettes à l’amélioration des transports publics, est profitable à la mobilité durable des villes et collectivités. L’adoption de cette réforme dépénalise le non-paiement du stationnement qui sera désormais considéré comme une occupation domaniale soumise à redevance.
Des solutions technologiques au service des collectivités
Un nouveau modèle sera instauré : le paiement spontané de la redevance ou le paiement ultérieur, sous forme d’un « forfait de post-stationnement » dont le montant ne pourra excéder celui de la durée maximale de stationnement autorisé. Pour ce faire, de nouvelles technologies devront être employées, à l’instar de celle développé par la société d’ingénierie Coppernic : Copperpark, une solution clé en main complète pour la gestion du contrôle du stationnement payant. La réforme du stationnement payant sur voirie sera ainsi portée par des solutions de gestion automatisées de pointe.
A compter du 1er janvier 2018, toutes les collectivités devront avoir construit un dispositif fonctionnel permettant la mise en œuvre de la réforme du stationnement. D’ici là, de nombreux travaux devront être menés pour aboutir à cet objectif ambitieux.